La punition de Kyombele

Catégories : Rencontres FESSEE, éducation anglaise canne fouet Femme et Homme Femmes fessées
il y a 5 ans

Kyombele n'y pouvait rien : elle était jalouse et exclusive. Les réponses évasives de Molly n'avaient rien arrangé. La jolie rousse avait bien admis avoir été "récompensée" par sa patronne : elle avait parlé des boucles d'oreille finit par admettre la sortie au restaurant mais persistait à rester silencieuse sur ses relations plus intimes avec Sally. Il ne s'était rien passé au "salon bleu" répétait-elle avec obstination à son amante inquiète et incrédule. La jeune noire connaissait trop bien sa directrice pour accepter "argent comptant" les confidence de sa rousse amie : elle était persuadée que cette dernière lui cachait quelque chose. Elle resta donc d'humeur maussade toute la journée en particulier avec sa collègue et sa patronne, ne faisant des efforts qu'avec la clientèle, afin de rester irréprochable sur le strict plan du travail.

Elle pensait que cela serait suffisant et amènerait Molly à changer d'attitude . Elle avait tort et Miss Hayworth qui ne, l'entendait pas de cette oreille lui ordonna de l'attendre "au salon bleu" après la fermeture. La jeune vendeuse vit partir ses collègues avec angoisse, elle craignait son autoritaire directrice et devinait sans difficulté que ce n'était pas une récompense dont elle allait être gratifié ! Sally fit "poireauter" pendant un bon quart d'heure son employée avant de la rejoindre, dans le seul et évident but d'aggraver son anxiété. Elle réussit parfaitement sur ce point et c'est une Kyombele complètement terrorisée et absolument déconfite qu'elle retrouva dans son "domaine favori".

Elle eut presque pitié de la jeune noire qu'elle savait très émotive et faillit la renvoyer après une simple bonne semonce, mais elle se ressaisit, la fautive avait besoin d'une bonne leçon . Elle l'avait bien méritée après tout et cela lui serait profitable. Elle s'assit laissant son employée debout, et commença par lui débiter d'une voix froide les reproches qu'elle avait à lui faire. Elle conclut qu'elle était seule juge des récompenses et des punitions dans son établissement et que Kyombele n'avait qu'à tout quitter, si cela ne lui, convenait pas. La pauvre fille qui lui faisait face se décomposait progressivement en bredouillant pêle-mêle des excuses, des demandes de pardon et des approbations sans réserve.

Elle finit par tomber à genoux, en pleurs, jurant qu'on ne l'y reprendrait plus. Sally avait le cœur brisé par autant de sincère contrition mais elle résolut cependant d'aller jusqu'au bout. Elle déclara à la jeune noire qu'elle n'accepterait de la garder à son service qu'à la seule condition qu'elle accepte volontiers et sans discussion aucune, la punition qu'elle lui réservait. Kyombele immédiatement, avec la spontanéité de son âge et de son caractère, se déclara prête à tout. Miss Hayworth l'informa alors, d'une voix qu'elle s'efforçait de garder parfaitement neutre, que seule une bonne fessée était susceptible de remettre "les choses en place". La jeune employée pâlit puis rougit autant qu'une jeune fille de sa complexion puisse le faire.

Elle avait dix-neuf ans passés et n'avait pas reçu une telle "correction" depuis une dizaine d'année ! La fière jeune fille trouvait en plus horriblement humiliant d'avoir à offrir ainsi son postérieur, sans la moindre défense, aux coups qu'il allait recevoir. Elle se mordit les lèvres, hésita un moment, implora du regard son autoritaire patronne mais rien n'y fit : c'était à prendre ou à laisser ! Elle finit par obéir, la mort dans l'âme et comme une toute petite fille, accepta de trousser sa jupe jusqu'à la taille et de baisser sa culotte jusqu'aux chevilles, ainsi qu'il lui fut fermement demandé.

Elle s'allongea sur les genoux de sa directrice, les fesses serrées et tremblantes de peur.

Miss Hayworth prit tout son temps pour la disposer à sa guise. Elle commença par une claque moyenne pour tester les réactions de sa victime. Celle-ci, sous la cuisante douleur se cabra en hurlant, mais reprit bientôt la position avec des directives supplémentaires : elle ne devait ni bouger ni crier. Kyombele se mordit de nouveau les lèvres, réussit à rester coite sous le deuxième assaut mais ne put s'empêcher d'éclater bientôt en sanglots. La douleur et l'humiliation étaient trop difficiles à contenir plus longtemps. Sally dosait savamment les coups : il s'agissait de surprendre plus que de faire véritablement mal et surtout d'obtenir maintes fois répétée, quelque soit la fréquence et l'intensité des claques, une parfaite soumission.

Bientôt elle fut satisfaite du résultat obtenu, il ne s'agissait pas une fois de plus pour elle, de martyriser son employée pour qui elle éprouvait, comme pour chacune d'entre elles, de très tendres sentiments. Elle voulait simplement que celle-ci fasse preuve d'une obéissance absolue et la jeune noire, humblement, était en train de lui témoigner toute la subordination docile dont elle était capable. Miss Haywoth mit donc fin au châtiment qu'elle avait institué pour l'occasion.

La jeune noire, allongée sur les genoux de sa directrice, la jupe troussée jusqu'à la taille, la culotte descendue aux chevilles, agitée de gros soubresauts, sanglotait à chaudes larmes. Elle venait de recevoir une des plus sévères correction de sa jeune vie et probablement l'une des plus mémorable. Elle avait exaspéré Sally qui n'avait pas manqué d'exercer sur son employée tous les droits que cette dernière avait acceptée en postulant chez elle. Miss Hayworth n'était pas une méchante femme et elle savait qu'une punition bien acceptée doit être logiquement suivie d'un encouragement. C'est ce qu'elle s'apprêtait à dispenser à sa petite employée qui venait à présent de lui démontrer de nouveau sa parfaite soumission.

Elle commença par parcourir les fesses encore brûlantes par des caresses apaisantes. Kyombele sursauta mais se laissa docilement faire. La main de la directrice se fraya alors sans aucune difficulté entre les cuisses brunes et pris avec assurance le contrôle de la vulve succulente entre les poils crépus. La jeune noire s'ouvrit volontiers pour achever de prouver son parfait accord. Miss Hayworth acheva tranquillement sa prise de possession et se mit en devoir de stimuler adroitement le sexe qui se liquéfiait sous ses habiles manœuvres. Kyombele se cabrait sous l'intensité des ondes de plaisir, mais s'empressait de des remettre bien sagement à l'entière disposition de sa directrice.

Cette dernière ordonna alors à son employée de faire preuve de patience et d'attendre son autorisation pour se laisser emporter par l'orgasme. Elle poursuivait minutieusement ses caresses jouissant tranquillement de l'affirmation de son entière possession jusqu'à amener la jeune noire à implorer son acquiescement. Elle fit durer le plaisir à loisir et finalement donna son autorisation à sa vendeuse suppliante quand cette dernière se fit par trop humblement suppliante. La jeune noire éprouva alors un puissant orgasme qu'elle exprima sans fausse pudeur. Sa directrice parfaitement satisfaite de la soumission de son employée, l'apaisa de nouveau par de tendres caresses sur les fesses. Elle savait qu'elle pouvait tout se permettre sans éveiller la moindre protestation.

Elle fit promettre à Kyombele d'être sage et de bonne humeur et devant le regard anxieux et interrogateur de la jeune noire promit le silence, sur ce quoi s'était passé, auprès de toutes les autres vendeuses. Celle qui faisait l'objet d'une punition ou d'une récompense de la part de leur directrice évitaient soigneusement de s'en vanter auprès des autres, honteuses dans un cas comme dans l'autre, d'avoir dût de soumettre sans limite à l'autoritaire Miss Hayworth. Elles craignaient donc plus que tout de voir exposer voire ridiculiser leur comportement qui obligatoirement se devait d'être tout ce qui a de plus infantile pour être accepté par leur inflexible directrice.

Cela faisait un moyen de pression supplémentaire sur ses subordonnées qui ne déplaisait pas à cette femme pleine de bon sens. Kyombele fut enfin autorisée à remonter sa culotte et à baisser sa jupe. Sally lui accorda son congé en lui souriant et la jeune noire lui répondit poliment en baissant les yeux avec humilité. Elle n'était pas près d'oublier ce cuisant et humiliant épisode !

Scilly Malguyine

Cette ressource n'a pas encore été commentée.
Publicité en cours de chargement